Punkskin is not dead

Pardonnez le jeu de mots bilingue hasardeux, mais le nom du magazine (Citrouille, pumpkin en anglais) qui jette un coup de projecteur sur Le Clash (éd. Syros) ce mois-ci, était une perche tendue dans ma direction… Mon roman ayant été écrit, entre autres, sur fond de conflit entre les Skinheads et les Punks, je l’ai saisie.

Voici ce que la librairie Apostrophe de Chaumont en dit : « Ce roman nous plonge dans l’ambiance de l’Angleterre dans les années 70, et du mouvement punk de cette période. Le point de vue du fils
sur le passé de son père nous fait réfléchir aux changements qui ont traversé la société et aux différences entre générations. »

Merci à l’équipe de la librairie.

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