
Une enquête familiale qui sert de prétexte à une quête quasi existentialiste, un road-movie qui vous emmènera du côté de Saint-Etienne, en Israël, dans les Cévennes, puis à Toulouse et enfin à Madrid.
Un roman noir qui explore les ressorts psychologiques d’un quinquagénaire qui a encore pas mal de chemin à parcourir avant de se connaître. La mémoire collective questionnée par le récit personnel, l’Histoire vue par le petit bout de la lorgnette, à hauteur humaine.
Une trame basée sur un véritable épisode de mon histoire familiale : sous l’occupation, mes grands-parents ont caché un peintre juif, Willy Eisenschitz, dans le grenier de leur demeure cévenole. Il s’en est sorti, et après la guerre, il a rendu visite à ses sauveurs pour leur offrir une de ses oeuvres.
Mais dans mon roman, les choses se déroulent différemment…
Le Tableau du peintre juif, éditions La Manufacture de Livres 2022 320 pages / 20,90 euros
Revue de presse
Narration fluide et rythmée, précision documentaire et finesse psychologique.
Stéphanie Dupays, Le Monde des livres du 17 novembre 2022
Séverac travaille en pleine pâte humaine, le devoir de mémoire devient un plaisir tant les personnages existent, tant ils sont forts, tant ils sont émouvants. (…) Une écriture bouleversante (…) Un des beaux romans de cette rentrée littéraire, dans le genre.
Mauvais Genres, France Culture, 3 sept. 2022
Au fil de cette aventure, le roman se révèle un passionnant document sur ce que les passeurs (…) mais aussi sur les circuits des biens juifs spoliés.
Libération – Livres du 18/09/2022
Un récit passionnant, incarné.
Michel Abescat in Télérama du 23/09/2022
Une histoire tragiquement romanesque […] Une course haletante […] Magnifique !
Gérard de Cortanze in Historia Magazine n°193 – janvier 2023
Une enquête longue, minutieuse et obstinée. En mode polar et grâce à des flashbacks saisissants, on découvre l’impressionnante organisation des réseaux clandestins de passeurs entre la France et l’Espagne.
Le journal l’Alsace du 16/10/22
Construit comme une enquête policière, documenté comme un récit historique, ce roman explore subtilement les méandres de la mémoire.
In La Vie, décembre 2022
Après Tuer le fils, un polar nerveux, Benoît Séverac plonge dans les secrets des œuvres d’art volées pendant la guerre. Un thriller incisif à souhait.
Ariane Bois & Emmanuel de Boysson in L’Arche, décembre 2022
Un beau roman, profondément humain qui interroge notre relations aux autres, notre engagement, nos vanités et nos faiblesses. Ajoutez à cela une belle galerie de personnages secondaires, bien campés, colorés, quelques magnifiques descriptions de paysages, l’humour acéré, le sens de la formule et vous avez là un roman qui se dévore.
Caroline Fredon in Y’a d’la joie
Une belle et tragique histoire loin de finir comme on s’y attend, ou comme on l’espère. Encore une superbe pépite de la rentrée littéraire.
Laurence in Aire(s) Libre(s)
Un roman à vous procurer de toute urgence ! Nul répit pour vous, lecteur, jusqu’à la dernière ligne et un dénouement bluffant !
Marina in MGBooks
Un récit parallèle savamment distillé (…) et sérieusement documenté. L’écriture de Benoît Séverac est précise, on sent que chaque mot est à sa place.
Nicolas in Nyctalopes