Revue de presse de « Le jour où mon père a disparu »

« Construit comme un polar, sur une série de révélations, le roman de Benoît Séverac se lit très vite, la curiosité chauffée à blanc. Mais il n’est pas un simple divertissement. L’auteur revient sur les luttes des mouvements autonomistes et certaines de leurs dérives.  […] Au fil des pages, cette question, passionnante, est développée dans toute sa complexité. Sans jamais écraser la fiction. Au final, c’est l’émotion qui l’emporte. »
Michel Abescat in Télérama

« Un récit haletant signé Benoît Séverac, qui plonge dans ce mouvement méconnu des jeunes, le Front de Libération Occitan. Passionnant, ce roman, situé entre l’Aude et le Pays
Basque, éclairera les jeunes lecteurs sur le passé de notre région. »
L’indépendant, 19 janvier 2020

« C’est à la fois fin et enlevé, brillant et simple. Un roman initiatique avec un personnage bouleversant parce que bouleversé. Benoît Séverac est un faiseur d’histoires. »
K-Libre

« Benoît Séverac nous fait, une fois de plus, vivre une histoire 𝗶𝗻𝗰𝗿𝗼𝘆𝗮𝗯𝗹𝗲, pleine d’émotions et d’interrogations. »
L’ado accroc aux livres

« Comme toujours chez l’auteur, il y a à la fois des personnages forts et attachants, du suspens, des ruptures de rythme qui surprennent. De la réflexion sur des sujets importants. Une amitié entre ado puissante et utile. Une famille qui résiste, et qui réchauffe le coeur finalement malgré les aléas de la vie. Et une écriture extrêmement addictive. »
Jangelis

« Un roman qui ne laisse que peu de répit au lecteur. Le jour où mon père a disparu, c’est l’histoire d’un été pour grandir, amorcer le passage vers l’âge adulte, pour aimer aussi. Un roman d’initiation qui explore l’intime, ce qui nous construit, parfois à notre corps défendant, avec toute la finesse que l’on connaît à cet auteur. »
Caroline Fredon in Y’a d’la joie