Un objet littéraire et iconographique inhabituel, et que je suis particulièrement ému et fier de vous présenter.

Trois générations de Séverac s’emparent de la même question, celle de la guerre d’Algérie : le premier sous la forme d’une nouvelle parce que son père n’a jamais répondu à ses questions et qu’il a souhaité, en inventant un personnage de fiction, déposer ce fardeau ; le deuxième (le père en question) sous l’angle du récit, parce qu’il l’a vécue ; et enfin, le troisième, le petit-fils, sous l’angle esthétique parce que son métier, c’est la photographie, et son jeune âge lui a (peut-être) permis de prendre une certaine distance émotionnelle par rapport à l’expérience de son père et de son grand-père.

Notez que la nouvelle qui ouvre le triptyque est audible sous la forme d’une lecture musicale donnée par l’auteur, accompagné par le musicien Jean-Paul Raffit à la guitare électrique. Suivre l’actualité de l’auteur en consultant son agenda.

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